#117
Comment
ne pas continuer... mais sortir de là où aucun n'a demandé à être
avant d'y être? ... en fin du compte de son compte.
Comment
au bout de son temps... s'en va-t'on du bail de location de ce corps
où on était tenu à demeure depuis son début?
Un souvenir ça s'efface, une vie ça s'oublie, un corps ça poussière... tout ça quoi, ça s'éloigne.
Un souvenir ça s'efface, une vie ça s'oublie, un corps ça poussière... tout ça quoi, ça s'éloigne.
On
tourne comment la page de tout ça,?... sans fanfares ni prestances
de ce qui s'est passé... s'en aller de tout ça quoi... avec
discrétion et juste quelques uns.
Mais comment? Juste comment n'est-ce pas? .
Mais comment? Juste comment n'est-ce pas? .
Au
bout du bout du silence sonnant ce dernier tocsin des mille combats
de cent batailles perdues, enfin cette chose de douce solitude avec
son linceul apatride.
Une fin se doit être sans foule sans tralala ni brouhaha.
Une fin se doit être sans foule sans tralala ni brouhaha.
L'apatride.
Commentaires
Cette peinture date... 20 ans peut-être, déjà? Il faudra que je lui demande... Bien dommage que l'apatride ait arrêté de peindre.