#314 bis
Et toujours l'orage nettoie... juste un instant... la terre et le sol et la ville de leurs hommes avec tous leurs détritus et tous leurs encombrants... laissant derrière l'odeur mouillée d'un instant d'hygiène qui soulage... ainsi toujours ici les moussons humides quand les vents tropiques trop forts viennent de la mer de Chine ou de l'estuaire du Mê Kong...
Un répit. Juste un répit.
l'apatride
Commentaires